Ce qu'il s'est passé...
Quand j’ai parlé d’exploser, l’autre jour, je pensais vraiment pas que ça ressemblerait à un truc pareil. Je m’explique : j’ai fini ma soirée dans une boîte très très ouverte d’esprit, si vous voyez ce que je veux dire. Ce qui est marrant c’est qu’il m’a fallut environ 24 heures de calme pour m’en remettre. Non mais faut imaginer le tableau quoi, moi qui avais jamais foutu les pieds dans ce genre d’endroit j’y suis allée et… waouh, j’ai pas les mots. En fait si, mais c’est quand même dur à décrire. Un jour je me souviens avoir lu une histoire avec un lieu fictif nommé "la rue des lanternes". Joli nom pour parler de la rue que, si j’étais l’auteure de ce roman, j’aurais personnellement renommée "rue des plaisirs", m’enfin "rue des lanternes" c’est plus poétique, je l’avoue. Et bien, samedi dernier, ce qui m’est arrivé, c’est cela ! J’ai fait une sorte de bond dans le monde entre le réel et l’imaginaire, j’ai découvert la "rue des lanternes" mais pour de vrai. Ma rue des lanternes. Qu’est-ce que c’est classe… et complètement barré, aussi.